Un jour, des charentais de Paris réunis dans une brasserie au pied de la tour Eiffel pour parler « des terres autour du plus beau ruisseau du royaume » selon l’expression d’Henri IV, se sont posé la question : les Charentes seraient-elles une source d’inspiration littéraire particulièrement féconde ? Et par quel mystère ?
Impossible de répondre. C’est la vie qui est féconde, partout, plus ou moins. Mais chacun ayant son paysage et son auteur favori à l’esprit, ils ont pensé les évoquer pour parler de ce qui fait battre leur coeur, les Charentes et la littérature.
Composent, en 2016, le Club des auteurs charentais de Paris : Bernard Baritaud, Jean-Louis Berthet, Pierre Brunel, Pierre Henri Guignard, François Julien-Labruyère, Didier Jung, Alain Mazère, Arnaud des Roches de Chassay.
SOMMAIRE :
Avant-propos
Henry Bardon par Bernard Baritaud.
Aimé Bonpland, Jardinier du monde par Pierre Henri Guignard.
Un Charentais conteur d’Histoire : Jean Duché par Arnaud des Roches de Chassay.
Eugène Fromentin et l’île de Ré par Didier Jung.
Pierre Loti conseiller littéraire ? par Jacques Perot.
Les amours charentaises de Daniel Reynaud par Jean-Louis Berthet.
Sur Le Robinson noir d’Alfred Séguin par Pierre Brunel.
Madame de Saint-Surin, muse d’Angoulême et personnage balzacien par Alain Mazère.
Marcelle Tinayre, féministe en retrait par François Julien-Labruyère.
Éléments biographiques des auteurs.
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