Un jour, des charentais de Paris réunis dans une brasserie au pied de la tour Eiffel pour parler « des terres autour du plus beau ruisseau du royaume » selon l’expression d’Henri IV, se sont posé la question : les Charentes seraient-elles une source d’inspiration littéraire particulièrement féconde ? Et par quel mystère ?
Impossible de répondre. C’est la vie qui est féconde, partout, plus ou moins. Mais chacun ayant son paysage et son auteur favori à l’esprit, ils ont pensé les évoquer pour parler de ce qui fait battre leur coeur, les Charentes et la littérature.
Composent, en 2016, le Club des auteurs charentais de Paris : Bernard Baritaud, Jean-Louis Berthet, Pierre Brunel, Pierre Henri Guignard, François Julien-Labruyère, Didier Jung, Alain Mazère, Arnaud des Roches de Chassay.
SOMMAIRE
- Avant-propos par Catherine Armand, régente du chapitre Rochambeau des Daughters of the American Revolution (DAR)
- Repères chronologiques par Jean-Marc Ticchi
- Le marquis de Ruffec « coach » de La Fayette par Alain Mazère
- L’Hermione, frégate charentaise de la liberté par Claude Labbé
- Des canons d’Angoumois pour l’Amérique par Samuel Cazenave
- Claude-Anne de Saint-Simon, un Charentais Grand d’Espagne aux côtés des Insurgents par Arnaud des Roches de Chassay
- Pierre Étienne Duponceau. Un Rétais au service des États-Unis par Didier Jung
- René-Annibal de Roffignac au siège de Gibraltar par Jacques Perot
- Dix pages blanches par Pierre Henri Guignard
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